Une médiation sociale. Un outil de recherche et de partage.
Gratuits et ouverts à tous publics grâce au soutien continu de la Ville de Graulhet (France) et du Scalabrini Centre à Cape Town (Afrique du Sud), les ateliers réunissent des groupes de cinq à douze personnes sur une thématique touchant à l’identité et la parentalité. Le projet a su intégrer une grande mixité sociale et ethnique, et fonctionne beaucoup grâce au bouche à oreille. Des liens se nouent entre les participants, les Cartes du Corps se construisent et vivent au rythme des ateliers, se transforment, se lisent.
En clôture de chaque série d’ateliers, les Cartes du Corps qui ont jusque-là été travaillées à l’horizontale, vont se redresser à la verticale, et s’exposer : le regard prend une autre perspective.
« Exposer ces oeuvres fait partie intégrante de la thérapie : que les pièces fassent histoire, retraçant ainsi un cheminement, une réflexion, un progrès. Ces oeuvres, où le Beau n’est pas le but, développent une esthétique qui leur est propre et qui résonne.»